Tumeur bénigne.
Association Française d’Urologie. Société savante représentative des urologues Français.
Capacité à retenir ses urines entre deux mictions.
Organes de l'érection. Il existe deux corps caverneux.
Se dit d'une maladie dont la guérison définitive peut être obtenue quel que soit le traitement.
Canal qui véhicule les spermatozoïdes des testicules jusqu'au canal éjaculateur.
Technique d'examen montrant des images de certains organes à l'aide d'ultrasons. La sonde est utilisée pour explorer l'organe.
Coagulation à l'aide d'une électrode d'un fragment de tissu. Lorsqu'elle intéresse une artère ou une veine de petit calibre elle permet alors d'arrêter le saignement.
Mécanisme qui permet à la verge de se remplir de sang. À l'état de repos, ou flaccidité, la verge est comme une éponge vide. Une excitation sexuelle va lui permettre de se remplir de sang et de devenir rigide.
Érection survenant spontanément en dehors de toute stimulation sexuelle.
Érections déclenchées lors d'une stimulation sexuelle.
Organe de grosseur très variable de quelques millimètres à plusieurs centimètres réalisant une sorte de barrage à la dissémination des cellules cancéreuses.
structures cellulaires microscopiques, une glande est formée d'un regroupement de plusieurs cellules. Ces glandes secrètent un liquide qui participera à la composition du sperme. C'est au niveau de ces glandes que se développe le cancer de la prostate. Ne pas confondre avec la glande prostatique.
Synonyme de prostate, c'est-à-dire l'organe. Ne pas confondre avec les glandes prostatiques.
Produits pharmacologiques utilisés en anesthésie pour induire le sommeil.
Besoins pressants d'uriner.
Perte de souplesse d'un organe constatée lors de sa palpation. Il devient plus ou moins dur.
Examen permettant d'avoir des images précises de plusieurs régions du corps, en utilisant les ondes magnétiques. Pour l'étude de la prostate on utilise une sonde qui est introduite dans le rectum.
Pose d'une sonde dans la trachée au début de l'anesthésie pour assurer la ventilation des poumons pendant l'opération.
terme utilisé pour toutes les revues scientifiques ou compte rendus de congrès de sociétés savantes. Les résultats publiés ont tous été acceptés par un comité scientifique de lecture qui valide la qualité du travail.
Action d'uriner.
Produits pharmaceutiques utilisés pour supprimer la douleur.
Nerfs véhiculant la commande de l'érection des centres nerveux vers les corps caverneux.
Modification très limitée de la consistance d'un organe, constatée au cours d'un examen. L'aspect est souvent celui d'une petite bosse plus ou moins dure.
Se dit d'une maladie dont la guérison définitive ne peut être obtenue quel que soit le traitement.
C'est le nom de la prostate lorsqu'elle a été retirée et qu'elle sera examinée au microscope.
Ensemble de paramètres permettant de préciser quelle sera l'évolution d'une maladie.
Infection aiguë de la prostate.
Traitement du cancer à l'aide d'un appareil émettant des rayons. Les radiations agissent en détruisant les mécanismes qui permettent à une cellule de se développer.
C'est la ré-ascension du PSA après prostatectomie totale. Elle doit être constatée à deux dosages successifs à six mois d'intervalle. Elle témoigne d'une rechute microscopique de la maladie.
C'est le nom de la prostate lorsqu'elle a été retirée par le chirurgien. Elle est ensuite confiée au laboratoire d'anatomopathologie pour l'étude au microscope.
L'antigène prostatique spécifique (PSA pour Prostate Specific Antigen) est une protéine fabriquée exclusivement par la prostate. Le dosage de son taux sanguin est utilisé pour le diagnostic ou le suivi du cancer de la prostate.
Examen permettant d'avoir des images précises des différentes parties du corps en utilisant les rayons X.
Examen permettant de montrer des images du squelette osseux. Cette technique utilise des produits faiblement radioactifs qui, une fois injectés, se fixent sur les os.
Étude microscopique des glandes prostatiques cancéreuses permettant de préciser le potentiel évolutif du cancer, c’est-à-dire son agressivité. Ce score varie de 6 à 10 : un score 6 est de très bon pronostic, le score 7 est plus agressif, et les scores 8 à 10 sont des scores très agressifs.
Liquide blanchâtre émis lors de l'éjaculation. Le sperme est constitué du liquide séminal, des sécrétions prostatiques et des spermatozoïdes.
Qui appartient au sphincter.
muscle dont la contraction empêche l'écoulement de l'urine.
On distingue deux stades de la maladie différents :
Le stade clinique est celui qui précède l'opération, il est évoqué en fonction de nombreux critères : taux de PSA, aspect du toucher rectal, nombre de biopsies positives, grade de Gleason, IRM, etc. Pour être schématique il existe trois stades cliniques : T1c et T2 (stades localisés) et T3 (stade avec dépassement capsulaire). Le stade clinique est toujours supposé mais jamais certain.
Le stade pathologique est le stade après l'opération. Il est porté après l'examen au microscope de la pièce opératoire par l'anatomopathologiste. C'est en fait le seul qui soit important car il donne réellement l'étendu du cancer dans la prostate et permet de porter un pronostic. Il existe schématiquement deux stades :
A ces deux stades vont être ajoutés le statut des ganglions et celui des marges chirurgicales :
Exemple : pT2 R1 Nx : stade localisé avec marge positive chez un patient n'ayant pas eu de curage ganglionnaire.
Tube de diamètre variable muni d'une extrémité pointue amovible. Introduit à travers la paroi de l'abdomen il permet le passage des instruments ou de la caméra en cœlioscopie.
Augmentation de longueur et de diamètre de la verge, étape précédant la rigidité.
Canal reliant la vessie à l'extrémité de la verge. Il permet l'évacuation des urines et le passage du sperme lors de l'éjaculation.
Portion de l'urètre où se situe le sphincter.
Qui se rapporte à la vessie.
Glande sexuelle dans laquelle s'accumule le liquide séminal.